— CERCLE ; those who want the crown — MESSAGES : 1729
AVATAR + © : olivia holt + philtatos POINTS : 1241
AGE : (VINGT ANS) Poupée de porcelaine et de marbre, tu débordes de jeunesse et d’innocence alors que tu fais tes premiers pas dans l’âge adulte.
STATUT CIVIL : (FIANCEE) Main offerte pour quelques armes, voilà que tu sembles finalement offrir plus à la cause de ton cousin.
| praying (os) | Mer 11 Déc - 17:29
| A genoux dans le Haut Temple de Rezbia, n’ayant que quelques bougies pour t’éclairer, tu priais. Tu priais pour le retour du soleil, tu priais pour la fin de la guerre, tu priais pour que cessent ces cauchemars qui tourmentaient les tiens. Tu priais pour ta famille, tes amis et tout le peuple d’Akkadia. Tu priais pour que toute cette désolation cesse, pour que tout redevienne à la normale. Surtout, tu priais car il ne te restait plus que cela à faire. Tu ne te faisais aucune illusions sur ton utilité à ta famille : Tu n’étais pas une guerrière, ni une scientifique, ni une politicienne encore moins une éminente chercheuse. Toi qui ne savais faire que de jolies choses, n’y avait que ta main qui aurait pu se trouver intéressante, et maintenant qu’elle avait été donnée, ton utilité devenait inexistante. Ne te restait plus que la prière, toi qui étais si pieuse. Alors tu invoquais des puissances divines, les suppliant de vous guider, de vous dire comment réparer votre monde, comment le sauver, car tout cela ne pouvait qu’être la fin du monde, n’est-ce pas ? Le soleil disparut, le froid, la famine et la maladie, étaient-ce la punition qu’avait causé votre hubris ? Vos créateurs vous avaient ordonnés de vous aimer les uns les autres et, à la place, vous vous entretuez. Était-ce donc si étonnant que les Dieux choisissent de vous mettre à l’épreuve ? Alors, tu pris. Tu demandes pardon, demandes ce que vous pouviez faire pour réparer vos erreurs. Tu ne souhaitais pas mourir, tu avais encore toute ta vie devant toi et tu avais fait si peu. Mais plus que tout, tu ne voulais perdre aucun des tiens, de nouveau. Prier, tu n’étais bonne qu’à faire ça, après tout. Alors autant être utile d’une façon ou d’une autre à ta famille.
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