pseudo - l'oisillon bleu, le colibri bleu, blue bird. on aura compris c'est du pareil au même vous avez le choix.    âge - piouf, l'âge changera en novembre, c'est loin encore mais c'est sur toujours l'âge de pierre.    pays - douce France, cher pays de mon enfance. comment as-tu connu le forum?ce grand bazzart bien entendu. smiley préféré -       . gif qui décrit le mieux ton personnage - le second étant pour isaiah et asher    

Spoiler:

( CHAPTER ONE )
however strong you become, never seek to bear everything alone. if you do, failure is certain.
Des épines de fer forgé,
Les murmures de notre apogée.
De lourdes responsabilités pèsent sur tes épaules, toi qui est encore si jeune. Je sais que tu en as conscience mais ne t'abimes pas dans les profondeurs de ton ire, Asher. La patience éclairera toujours ta clairvoyance, ne la perd jamais de vue, jamais. De simples mots envers lesquels, toi le  gamin de métal n'a jamais pris à la légère. Des paroles de ta figure maternelle, celle qui se veut soucieuse du bien être de sa progéniture. Deux épées de fer croisés entre la rudesse d'un père et la délicatesse de la mère. Chacun de tes frères et sœurs s'y adaptent – ou pas – mais en ce qui te concerne tel un caméléon tu parviens toujours – ou presque – à te fondre dans la masse de la vie au domaine. Pourtant, ses dires de celle qui t'a mise au monde s'impactent au poids de la raison pour te garder sur l’attractivité terrestre. Ils te ramènent à la sérénité , à une quiétude sereine sur laquelle tu te reposes intérieurement. Une pensée égoïste mais qui demeure la tienne. Respire. La toute première, celle qui signe le départ et la validation du chronomètre que ton géniteur tient dans sa main droite avec une rigide fermeté. Une gestuelle qu'a hérité la génération des Sielle précédent la tienne. Inspire. Le deuxième mouvement naturel de la respiration, donnant le tacle d'un point de chute qui ne viendra que plus tard. Les paupières closes, la maitrise de ton être prend de l'ampleur, elle s'étend à l'ensemble de ton cœur pour laisser ton esprit se forger à l'encre de l'acier. Conditionné, encadré, ainsi as-tu été élevé afin de parfaire, sans la moindre erreur, un parcours dit sans faute. Tu ne dirigeras pas mon fils, là n'est pas ton rôle. En revanche, il t'incombe de protéger et de soutenir ton cousin ainé. Une simple vérité énoncée et à laquelle tu t'es plié sans le moindre problème. La lumière n’émet aucun reflet sans ombre, cette dernière ne pouvant subsister sans lumière. Le tempo des battements de ton myocarde sont réguliers à l'image de la cadence paisible d'une petit ruisseau. Les secondes sur le chronomètre du patriarche défilent rapidement, tu connais la rythmique de son cheminement. Assis en tailleur, les coudes posés sur tes genoux, les poignets détendus, ta concentration se fige sur l'essentiel de l'exercice qu’impose la personne du Père. C'est lui qui décide de la structure des entrainements, les tiens sont tissés avec puissance et finisse pour tirer le meilleur de toi-même – comme il sait si bien le dire. Entre vous, aucun atome crochu si ce n'est la distance fadeur comme le serait la caresse du métal froid que l'on touche du bout des doigts. Le tambour de ton cœur demeurent paisible, louant ainsi l'attrait d'une patience que l'on lit à l’œil nu au delà de toutes apparences. Tu peux sentir l'une de tes boucles blondes chatouiller ton front et le souvenir de maman qui rigole avec bonheur parce qu'elle ne peut discipliner la fougue de ta tignasse. Cette dernière n'en fait qu'à sa tête, comme toi quelques fois. Tous les sens sont aux aguets, la respiration rauque du géniteur où la traduction des attentes qui se doit d'égaler la satisfaction sans équivoque. Vous êtes pour l'instant tous les deux seuls dans la salle d'entrainement, un désert où tu embrasses une certaine solitude tranquille. Arthur Sielle aime joué avec le feu, à défaut d'en détenir le don. En tant que membre de la lignée des anciens souverains, il rêve de grandeur tout dans le but d'aider son frère et son neveu. Un fils à son service, une aile forte et robuste pour pouvoir lui venir en aide, juste histoire de dire que lui aussi met la pierre à l'édifice d'une certaine manière. Une pensée qui ne te gêne guère car tu sais où est ta place. La mesure du temps toujours en main, l'Ainé s'enlise dans le silence de la pièce, faisant ainsi corps avec elle. Les yeux toujours fermés, la respiration – presque – insonore, tu sais qu'au neuvième pas ton père lancera l'objet en ta direction. Dès lors, tu prépares afin d'ériger la force sur un point précis et figé. Le mental se façonne grâce à la peur, le hasard et la volonté de l'esprit. Un point que tu ne dois jamais oublier si tu veux parvenir à cet exercice Asher. Des propos qui sonnent comme un ordre mais davantage comme un conseil en dépit de la rigidité de son timbre abrupte. Tu es de ceux qui n'occultent pas les mots, d'autant plus s'ils ont un sens et du mystère. Des gouttes de sueurs perlent le long de ton front, mouillant ainsi tes boucles devenues plus sombres. La sensation du filet d'eau qui glisse sur tes tempes est presque invisible. Un moindre détail qui ne mérite nullement d'être remarqué. Septième pas. Il approche, un rictus un brin narquois sur les lèvres. Huitième pas. Le bruit d'une porte qui s'ouvre avec fracas. « Arthur, cesse cela tout de suite ! ». La voix tendre de ta figure maternelle vient empiéter sur le domaine du calme. Une intonation où transperce une pointe d'anxiété, celles des affres de connaissances dont elle sait déjà le résultat. Le silence scelle les lippes de l'homme qui axe son regard sur celui de son jeune fils de neuf années. L'exactitude de son âge, la précision du nombre de ses pas. Une déduction rapide et analytique que le gamin à faite en peu de temps. Il lui suffit d'un abrégé d'observation pour cerner son propre père. Neuvième pas. Le père lève la main faisant appel a l'énergie de son pouvoir. Il décline ainsi la dimension des possibilités que lui confère le don d'un magnetron. La furtivité de quelques secondes, Arthur fait voler tout en vitesse, une lame en direction de son deuxième enfant. Un sifflement, telle la brise printanière, le son demeure suffisant à ton oreille pour y décrire une arme blanche. Âme concentré, la méditation pour prendre possession de la rapidité du couteau requiert une certaine expérience. Dominer rien qu'avec l'esprit, une volonté ordonnée. L’applaudissement est sonore, il résonne dans la pièce et il n'y en aura qu'un seul, pas un de plus, pas un de moins. Preuve de ton succès à l'exercice, tu ouvres tes prunelles azuréennes, la lame argentée toujours pointée en lévitation devant tes yeux. Tu la fixes avec une intensité incendiaire car ton envie de tordre ce métal est si profonde et cuisante qu'elle reflète ta colère intérieure. « Arrête toi-là pour aujourd'hui, Ash ... ». Le timbre de son père n'est qu'un écho lointain. Tu peux y arriver, tu pourrais même le faire, qu'en dis-tu ? Ta conscience se veut joueuse, car omnibulé par la réussite. « Asher. ». Ton appellation est tonné dans son intégralité, dépôt d'une mise en garde qu'il ne réitérera pas deux fois. L'éclat brute du réveil si soudain, tu relâches les forces monopolisées, la vague de puissance venant s'échouer sur le rivage, éveillant ainsi une certaine douleur qui retombe lourdement sur tes épaules. Un soupire où le souffle est court et fatigué, l'arme blanche s'apprête à retomber sur le sol mais ton père la rattrape au même moment. Il pose un genou à terre, s'abaissant ainsi à ta hauteur son regard soutenant le tien. « Il y a une moindre justesse à tout. Ne laisse aucune tes émotions émettre la dominance sur ton jugement où tu risque de t'abimer mon fils. ». Sa voix exprimait le lot de l'expérience cela tu ne pouvais en douter. A ce moment là, tu savais aussi que ton attitude l'avait pris au dépourvu – toi qui jamais jusque là n'avait laisser tes sentiments prendre le dessus sur tes actions.

( CHAPTER TWO )
even before you touched me, i belonged to you
all you had to do was look at me
Une main pour entrelacer nos doigts,
Un cœur pour embrasser notre foi.
Une armure pour le protéger.
Lui, l'innocence et la pureté.

Les épaules s'alignent à la perfection pour perfectionner la sensation. Les doigts de celui qui façonne le métal étreint avec décence  et précision l'instrument dont il dispose. L'harmonie des accords, la subtilité des gestes s'animent d'un commun accord pour donner corps à une délicieuse paix intérieure. Le violon – a toujours été – est ce moyen de scinder entre deux dimensions l'existence : celle au sein de laquelle tu évolues et celle où tu te ressources pour remettre de l'ordre dans tes idées. Un recoin de ton esprit qui laisse libre cours à cette imagination que parfois l'on bribe. Cet instrument est un témoin de tellement de vestige et il a été durant longtemps – il le demeure encore par ailleurs – ton moyen d'expression le plus implicite. Ancré dans l'ataraxie, la conscience s'évade et tourbillonne au rythme de la troisième mesure de la sonate. Une composition paisible, un appel au sommeil qui entre tes mains devient ce travail d'orfèvre à qui l'on envie leur minutie. Tu ne cesses de garder une œillade sur Isaiah, qui semi allongé sur le canapé en velours bleu nuit s'est déjà assoupi. Le petit prince avait son caractère au cours de la journée mais une fois la nuit maitresse de son cycle, le calme et la crainte du noire venait le tourmenté – comme le son l'état des cauchemar. La musique était l'un des seuls moyens pour apaiser le garçonnet de bientôt quatre années. Themyskira était encore en fonction sur une affaire et comme très souvent en fin de semaine, les heures tardives s'égrainaient comme des piles de dossier sur son bureau. Vous aviez trouvés ensemble le bon équilibre pour votre enfant, lui qui primait avant tout le reste sur l'ensemble de vos décisions. La dernier clef de sol est saisit tout en douceur alors que tu détends a nouveau tes épaules. Le regard azuréen que tu portes sur le môme est tendre, protecteur. Allongé sur ses quatre pattes, Mahpee veille au grain – il le fait toujours et d'autant plus depuis la naissance du gamin. Rangeant l'instrument à cordes frottées dans son étuis en cuivre, tu t'avances vers le canapé et prend avec précaution ton fils dans tes bras. Les menottes du petit blondinet se resserre autour de son Phoenix en peluche, sa bouche marmonnant des mots incompréhensibles dans son sommeil, son cœur battant à la régulière. La tête posée sur ton épaule, tu t'éloignes afin de monter à l'étage où se situe sa chambre. Le félin s'étend de toute sa masse avant de vous suivre jusqu'à la pièce où les lettres du prénom du petit son accrochée après la porte. Tu pousses cette dernière d'un léger coup de pied puis déposer doucement le petit prince dans son lit. Ses boucles folles sont aussi indomptables que l'étaient les tiennes et un sourire bienveillant prend naissance à la commissure de ta bouche. « Bonne nuit mon grand. ». Des murmures pleins d'amour, des paroles qui se montreront – tu l'espères – clémentes envers ses rêves infantiles. Tu remontes les couvertures sur ton fils, puis caresse le sommet de la tête de ton compagnon. Un seul regard entre vous et Mahpee saisit parfaitement l'écho de tes pensées. (…) Minuit est déjà passée lorsque tu enfiles un t-shirt, ta tignasse blonde quelque peu humide à cause de la douche que tu venais de prendre. La lumière du premier étage est allumée, preuve évidente de l'arrivé de ton épouse. Cette dernière laissait très souvent cette source de lumière ouverte pour prévenir de son retour. Une habitude prise – et qui était restée – depuis la naissance d'Isaiah. Aucun étonnement de la voir dans la chambre du jeune prince, elle était après tout la louve de sa meute. Femme forte, fatale et fragile à la fois. Tu prends appuis contre l'encadrement de la porte de la pièce, observant cette essence pour laquelle les sentiments de cœur était profondément tomber en admiration. Elle était tout ce que tu avais pu rechercher, et tels deux opposés vous ne cessiez jamais de vous attirez. Tes prunelles ne la quittent aucunement car le tableau de cette vision est magnifique, authentique. La Iskander soupire d'une certaine lassitude avant de laisser ses yeux ardents – mais un brin fatigués – rencontrer les tiens. Elle se lève, puis s'avance vers toi. Elle passe une main dans sa crinière brune, glisse cette même main le long de ton bras puis derrière ta nuque. Juste quelques centimètres de distance, une distance que tu romps en douceur en déposant un baiser sur ses lèvres. Ta main gauche entoure sa taille tout en courbe alors qu'instinctivement votre échange s'intensifie crescendo. D'ordinaire, tu aurais été le premier à sauter sur l'occasion mais depuis quelques jours le comportement de ta femme et vos disputes avaient tendance à te rendre un peu sceptique. Tu te recules légèrement, la toisant en silence. «  Quoi, ne me dis pas que tu n'en as pas envie ?! ». Son intonation est loin de la simple interrogation, elle est teintée d'une irritabilité loin de lui ressembler. Son expression facial semble avoir subit l'orage nocturne, les muscles de son corps sont tendus, son apparence presque traitre au change qu'elle tient tant à donner. « Ne dis pas de sottise. ». Commences-tu tout en marchant en direction de votre chambre situé à l'autre bout du couloir. « A cette question futile, je ne répondrais même pas. ». Ta voix est calme, tempérée. Ne tenais pas vraiment à ce que vous vous preniez la tête pour rien. Et surtout, tu ne voulais pas la froisser davantage qu'elle ne pouvait l'être. Ta tendre moitié rentre dans la chambre à couché, son ire bouillant exprimant une rancune. Fallait-il réellement mettre les choses à plat maintenant Asher ? Non, tu ne dois pas remettre sur le tapis, ton projet de donner un frère ou une sœur à Isaiah. La mort prématurée de ta nièce avait affectée l'ensemble des Sielle et depuis la jeune femme était d'humeur lunatique. Après tout, Neela et Isaiah avaient tous deux le même âge. Un soupire distrait s'échappe de tes lippes, tandis que tu viens enlacer la taille de ta compagne, son dos collé contre ton torse. Dès cet instant, la jeune femme se démunie de sa tension enflammée et se pose ses deux mains sur les tiennes. « Ca ira pour nous, pour Isaiah. ». Cela résonne presque comme une prière entre ses lèvres. Tu acquises en silence, resserrant votre étreinte qui dans l'abysse de la nuit qui finira par s'embraser, comme toujours.

BIENVENUE OFFICIELLEMENT SUR GWF
Congrats, tu es validé, cela veut donc dire que ta fiche est en ordre et que tu as surmonté cette étape difficile. A présent tu peux donc vadrouiller sur le forum librement et commencer à rp ainsi que plotter et bien entendu feelser.   Avant toute chose ta fiche était:
Genre juste top quoi ! T'as tout saisi et tout compris du personnage, de sa relation avec les siens, de sa vision du monde, sans manquer d'ajouter ta patte à tout ça : c'est magnifique                    

Tu bénéficies également de 80 points t'étant ajoutés, Asher ayant 33 ans

Même si tu es validé il te reste encore quelques étapes à passer avant d'être officiellement ajouté dans tous les registres. Pour recenser ton pouvoir, mais aussi ton prénom, ton métier etc.. il te faudra te rendre dans le recensement général que tu peux trouver ici. Surtout n'oublie pas de le faire, ce serait dommage que ton métier ou ton rôle au sein d'un mouvement te passe sous le nez.  

Après avoir surmonté la bureaucratie, tu peux donc commencer à te concentrer sur la partie inrp. Tout d'abord nous te conseillons d'aller poster ta fiche de liens dans cette partie pour pouvoir tisser des liens avec d'autres membres. Si tu en as besoin tu peux également poster un scénario, mais aussi un pré-lien ou encore ta famille (n'oublie pas de lire les règles avant de poster les sujets). Qui plus est, tu peux également recenser tes points dans ce sujet pour par la suite acheter des armes ou encore des avantages pour les futures intrigues comme par exemple les compétences. Nous t'encourageons aussi d'aller faire un tour dans la partie chuchots propre à ta famille ou ton mouvement puisque c'est là-bas que beaucoup des complots vont être créés. Puis, tu peux également créer ton propre mouvement si toutes les conditions requises sont remplies. Et pour finir, tu peux également te rendre dans la partie IRL, c'est à dire le flood ou encore la partie ship pour feelser un peu.  

Maintenant il te reste plus qu'à t'amuser, feelser, plotter, bref à avoir du fun.  en cas de question n'hésite pas à contacter @the parcae.